Hortense 14-18, T5. Vendanges sont faites, Cecil Saint-Laurent, 1967 - roman, guerre 1914 1918
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Hortense 14-18, tome 5. Vendanges sont faites, Cecil Saint-Laurent - roman - "Elle finira bien un jour, cette guerre." Elle finit, et avec elle l'histoire d'Hortense. Dans Vendanges sont faites, 1918, ce sont aussi bien les offensives allemandes de mars, mai, juillet, le recul allemand du mois d'août que les écœurements de Jules Durand en butte aux audaces sensuelles de la duchesse d'Albassoudun, à un amour interdit pour Sarah. Et quand Paris s'offre, après l'Armistice, au sentiment de la délivrance, ce sont Aurore, Colette, Tosca, de Fohe, Dechaise qui se livrent aux dévergondages neufs de l'époque. Quand enfin Berlin connaît une Semaine Rouge, elle décide du sort d'Hortense. Car, avec la supérieure adresse qu'il montre depuis le premier tome des Hortense 14-18, Cecil Saint-Laurent fait de l'événement historique l'affaire particulière d'un de ses héros. Dans ce volume aussi le lecteur trouve sa pleine récompense. Il a appris l'existence de Jossier dans l'Orage, la vu se façonner dans Jusqu'à Verdun, l'Année mutine, Paix blanche, Soir rouge. Il le retrouve baron Jossier-Guéneau dans Vendanges sont faites. Qui l'a connu petit caporal éveillé en route vers la gare de l'Est apprécie ses hâbleries de parvenu en ami de longue date, le prend sur le fait, l'entend mentir sans que l'auteur ait à l'indiquer. Il en va de même pour chacune des figures du livre. éditions Presses de la Cité, 1967. #roman historique, #saga familiale, #Grande Guerre, #guerre 14/18, #première guerre mondiale,
Hortense 14-18, tome 5. Vendanges sont faites, Cecil Saint-Laurent - roman -
"Elle finira bien un jour, cette guerre." Elle finit, et avec elle l'histoire d'Hortense.
Dans Vendanges sont faites, 1918, ce sont aussi bien les offensives allemandes de mars, mai, juillet, le recul allemand du mois d'août que les écœurements de Jules Durand en butte aux audaces sensuelles de la duchesse d'Albassoudun, à un amour interdit pour Sarah. Et quand Paris s'offre, après l'Armistice, au sentiment de la délivrance, ce sont Aurore, Colette, Tosca, de Fohe, Dechaise qui se livrent aux dévergondages neufs de l'époque. Quand enfin Berlin connaît une Semaine Rouge, elle décide du sort d'Hortense. Car, avec la supérieure adresse qu'il montre depuis le premier tome des Hortense 14-18, Cecil Saint-Laurent fait de l'événement historique l'affaire particulière d'un de ses héros.
Dans ce volume aussi le lecteur trouve sa pleine récompense. Il a appris l'existence de Jossier dans l'Orage, la vu se façonner dans Jusqu'à Verdun, l'Année mutine, Paix blanche, Soir rouge. Il le retrouve baron Jossier-Guéneau dans Vendanges sont faites. Qui l'a connu petit caporal éveillé en route vers la gare de l'Est apprécie ses hâbleries de parvenu en ami de longue date, le prend sur le fait, l'entend mentir sans que l'auteur ait à l'indiquer. Il en va de même pour chacune des figures du livre.
Cinq tomes donnent ce poids de réalité aux créatures de Cecil Saint-Laurent. Aux premiers jours d'aout 1914, l'auteur les faisait vivre. En 1918, ce sont autant de gens "qu'on a très bien connus". Ils traînent un passé et on sait lequel. Sil le mot der fresque n'avait pas été trop profané, il serait juste de l'appliquer à la série des Hortense 14-18.
éditions Presses de la Cité, 1967. #roman historique, #saga familiale, #Grande Guerre, #guerre 14/18, #première guerre mondiale,
Description : livre relié, couverture cartonnée, avec jaquette, 383 pages, format 22 cm x 14 cm, bon état. petite tache sur la couverture, petite déchirure de la jaquette.
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