L'hercule sur la place, Bernard Clavel, 1989 -...
La corruptrice, Guy des Cars, 1952 - femme...

Le voyageur inattendu, Lise de Cère, 1957 - roman sentimental, roman à l'eau de rose

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Le voyageur inattendu, Lise de Cère - Pseudonyme d'Andrée Saugère, (1893-1978) - roman sentimental - "Ouvrage pouvant être mis entre toutes les mains." Une des fenêtres du rez-de-chaussée s'illumine ; on distingue l'ampoule électrique et son abat-jour de porcelaine blanche. Le vent redouble. L'homme se décide à frapper. Une femme entre deux âges, en blouse noire recouvrant une robe de même teinte, un cardigan sombre sur le tout, parait : - Je suppose, dit l'homme que je pourrai passer la nuit ici, madame ? - Nous ne sommes pas auberge, monsieur. - Autrefois... On m'avait dit... Le vent qui redouble lui coupe le souffle. Derrière la maison, la plainte des sapins devient lugubre et presque aussitôt la pluie, une pluie diluvienne, tombe en trombe d'un ciel complètement noir. - Tout de même, dit la femme, il fait tellement mauvais, entrez vous chauffer. - Puis-je abriter mon scooter ? (...) Par la porte du fond, entre une jeune femme coquettement vêtue : tricot de bon goût, jupe tailleur, souliers et bas de sport gris. Une permanente discipline une chevelure brune. De grands yeux noirs et un air de distinction inné... Il y a beaucoup de femmes séduisantes et affinées dans nos campagnes, aujourd'hui." éditions du Dauphin, 1957. #roman sentimental, #Andrée Saugère, #roman à l'eau de rose, #roman pour adolescentes, #édition épuisée, #roman pas cher. 

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Le voyageur inattendu, Lise de Cère - Pseudonyme d'Andrée Saugère, (1893-1978) - roman sentimental - "Ouvrage pouvant être mis entre toutes les mains." C'est une vieille maison grise, solide encore, un grand cube de pierre patiné par le temps. Un seul étage à cinq fenêtres, à petits carreaux comme au vieux temps ; pas de contrevents. En bas, les quatre fenêtres sont protégées par des grilles que les ans ont rouillées. La porte en chêne massif durera sans doute l'éternité. Un marteau de bronze figurant une tête de moine remplace une sonnette ; la poignée qui actionne la serrure est un large anneau de fer que d'innombrables doigts ont poli. Au-dessus de la porte, une pierre sculptée d'une vague feuille d'acanthe avec la date : 1821, et, au-dessous une inscription à demi effacé  : La Rode, Relais des diligences. (...)

Une des fenêtres du rez-de-chaussée s'illumine ; on distingue l'ampoule électrique et son abat-jour de porcelaine blanche. Le vent redouble. L'homme se décide à frapper. Une femme entre deux âges, en blouse noire recouvrant une robe de même teinte, un cardigan sombre sur le tout, parait : - Je suppose, dit l'homme que je pourrai passer la nuit ici, madame ? - Nous ne sommes pas auberge, monsieur. - Autrefois... On m'avait dit... Le vent qui redouble lui coupe le souffle. Derrière la maison, la plainte des sapins devient lugubre et presque aussitôt la pluie, une pluie diluvienne, tombe en trombe d'un ciel complètement noir. - Tout de même, dit la femme, il fait tellement mauvais, entrez vous chauffer. - Puis-je abriter mon scooter ? (...)

Par la porte du fond, entre une jeune femme coquettement vêtue : tricot de bon goût, jupe tailleur, souliers et bas de sport gris. Une permanente discipline une chevelure brune. De grands yeux noirs et un air de distinction inné... Il y a beaucoup de femmes séduisantes et affinées dans nos campagnes, aujourd'hui." 

éditions du Dauphin, 1957#roman sentimental, #Andrée Saugère, #roman à l'eau de rose, #roman pour adolescentes, #édition épuisée, #roman pas cher. 

Description : livre broché cousu, couverture souple, 239 pages, format 19 cm x 12 cm. bon état intérieur. "ombre" sur la couverture. coiffe de queue du dos de couverture déchirée. 

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