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Petite princesse, Heny Gréville, 1899 - aristocratie russe, Menton, littérature jeunesse

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Petite Princesse, Henry Gréville (pseudonyme masculin d'Alice Fleury-Durand) - « Petite Princesse » brosse le portrait d'une famille russe exilée à Menton, dans les Alpes-Maritimes, à la frontière franco-italienne. La princesse Orlansky, à l'image d'Alice Fleury-Durand elle-même, est une femme entre deux âges minée par des problèmes de santé, et qui sent confusément la mort se rapprocher. Néanmoins, pour en retarder la venue, elle a quitté la froide Russie pour se réchauffer au soleil méditerranéen. Toute la famille profite largement de ce changement de climat. Son époux, passionné par la chimie, consacre une partie de ses journées à mettre au point un moteur électrique, qui cause régulièrement de dramatiques explosions, durant lesquelles, par le plus grand des miracles, personne n'est blessé. Une petite partie de l'aristocratie russe s'est également délocalisée à Menton, gravitant autour de cette famille princière qui organise régulièrement des soirées mondaines entre tsaristes de la bonne société. Hélas, cette vie mondaine et sans souci coûte extraordinairement cher, car même en 1899, Menton est une station balnéaire qui n'est pas à la portée de toutes les bourses. La princesse Orlansky a deux filles qui sont en âge de se marier : l'ainée, Vera, jeune femme déjà très mûre et plutôt timide, et sa sœur cadette Lioudmila, la "petite princesse", une adorable chipie totalement extravertie, volontiers désobéissante, mais dont la frimousse malicieuse et de magnifiques yeux gris viennent à bout de toutes les résistances. . éditions Librairie Plon-Nourrit, 1899 - #aristocratie russe, #émigrés russes, #Menton, #littérature jeunesse, #romans pour adolescents, #roman jeunesse, #Alice Fleury-Durand

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Petite Princesse, Henry Gréville (pseudonyme masculin d'Alice Fleury-Durand)

« Petite Princesse » brosse le portrait d'une famille russe exilée à Menton, dans les Alpes-Maritimes, à la frontière franco-italienne. La princesse Orlansky, à l'image d'Alice Fleury-Durand elle-même, est une femme entre deux âges minée par des problèmes de santé, et qui sent confusément la mort se rapprocher. Néanmoins, pour en retarder la venue, elle a quitté la froide Russie pour se réchauffer au soleil méditerranéen. Toute la famille profite largement de ce changement de climat. Son époux, passionné par la chimie, consacre une partie de ses journées à mettre au point un moteur électrique, qui cause régulièrement de dramatiques explosions, durant lesquelles, par le plus grand des miracles, personne n'est blessé.

Une petite partie de l'aristocratie russe s'est également délocalisée à Menton, gravitant autour de cette famille princière qui organise régulièrement des soirées mondaines entre tsaristes de la bonne société. Hélas, cette vie mondaine et sans souci coûte extraordinairement cher, car même en 1899, Menton est une station balnéaire qui n'est pas à la portée de toutes les bourses. La princesse Orlansky a deux filles qui sont en âge de se marier : l'ainée, Vera, jeune femme déjà très mûre et plutôt timide, et sa sœur cadette Lioudmila, la "petite princesse", une adorable chipie totalement extravertie, volontiers désobéissante, mais dont la frimousse malicieuse et de magnifiques yeux gris viennent à bout de toutes les résistances.

Ses parents ont choisi leurs futurs époux suivant des préoccupations d'alliance et de parentés communes, mais Lioudmila ne tarde pas à réaliser que non seulement ces soupirants ne plaisent ni à elle ni à sa sœur, mais qu'eux aussi, plus âgés, ne sont que fort modérément séduits par ces deux nymphettes à peine sorties de l'enfance.

Pourquoi donc se marier si on n'est pas amoureux au premier regard ? Pour Lioudmila, le mariage, c'est l'amour, et l'amour vaut plus que tout le reste. Aussi, utilisant à la fois son bagout plein de rouerie et son irrésistible air enfantin et virginal, Lioudmila va patiemment intriguer pour faire à la fois son bonheur et le bonheur de tous ses proches, en mariant chacun avec sa chacune par le biais d'échanges de fiancés qui vont laisser pantois la princesse Orlansky et son époux. Décidément, le fichu caractère de la "petite princesse" serait presque inconvenant si tout le monde n'y trouvait parfaitement compte.

Car en marieuse perfectionniste, non seulement Lioudmila déniche pour elle et sa sœur les maris qui leur conviennent, mais en plus, elle trouve pour leurs soupirants éconduits des épouses bien plus idéales. Et parce qu'elle est un ange de douceur et de gentillesse, Lioudmila va même jusqu'à marier le jardinier de la famille, vivant sous la tyrannie de sa sœur restée vieille fille, et qui aimait secrètement une petite voisine. Enfin, Lioudmila se réserve pour elle-même le jeune scientifique qui assiste les travaux de son père, roturier certes, mais la famille n'est plus très riche, et seul cet expert en détonations est en mesure d'aimer Lioudmila pour tout ce que sa personnalité a d'explosif. (source Babelio.com/livres )

éditions Librairie Plon-Nourrit, 1899 - #aristocratie russe, #émigrés russes, #Menton, #littérature jeunesse, #romans pour adolescents, #roman jeunesse, #Alice Fleury-Durand

Description : livre relié, couverture cartonnée, 270 pages, format 18 cm x 12 cm. bon état, petite tache sur la couverture, annotation manuscrite sur la page d'avant-titre. 

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