La bouillie de la Comtesse Berthe, Alexandre Dumas, 1958 - contes pour enfants
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La Bouillie de la Comtesse Berthe, Alexandre Dumas - contes pour enfants - Illustrations de René Giffey -
Il y avait, un jour, un vaillant chevalier nommé Osmond de Ropsenberg, lequel choisit pour femme une belle jeune fille nommée Berthe. Berthe était bonne, douce, compatissante, veillait avec soin à ce qu'aucun souffle ne ternît le miroir de sa réputation. Et quand elle parcourait ses villages, non pas dans une élégante calèche, avec un chien du roi Charles sur la banquette de devant, mais à pied, avec son sac d'aumône à la main, un Dieu vous le rend! dit par la voix reconnaissance du vieillard, de la veuve ou de l'orphelin, lui paraissait plus doux à l'oreille que la plus mélodieuse ballade du plus célèbre minnesinger, ballade que parfois cependant payaient d'une pièce d'or ceux là mêmes qui refusaient une petite monnaie de cuivre au pauvre qui se tenait debout à demi nu et grelot tant sur la route, son chapeau troué à la main. Aussi les bénédictions de toute la contrée retombaient comme une douce rosée de bonheur sur Berthe et sur son mari. Des moissons dorées couvraient leurs champs, des grappes de raisins monstrueux faisaient craquer leurs treilles, et si quelque nuage noir chargé de grêle et d'éclairs s'avançait sur leur château, un souffle invisible le poussait aussitôt vers la demeure de quelque méchant châtelain au-dessus de laquelle elle aillait éclater et faire ravage. éditions Librairie Delagrave 1958. #contes pour enfants, #contes d'Alexandre Dumas, #livre de contes, #anciens contes, #littérature jeunesse,
La Bouillie de la Comtesse Berthe, Alexandre Dumas - contes pour enfants - Illustrations de René Giffey -
Il y avait, un jour, un vaillant chevalier nommé Osmond de Ropsenberg, lequel choisit pour femme une belle jeune fille nommée Berthe. Berthe était bonne, douce, compatissante, veillait avec soin à ce qu'aucun souffle ne ternît le miroir de sa réputation. Et quand elle parcourait ses villages, non pas dans une élégante calèche, avec un chien du roi Charles sur la banquette de devant, mais à pied, avec son sac d'aumône à la main, un Dieu vous le rend! dit par la voix reconnaissance du vieillard, de la veuve ou de l'orphelin, lui paraissait plus doux à l'oreille que la plus mélodieuse ballade du plus célèbre minnesinger, ballade que parfois cependant payaient d'une pièce d'or ceux là mêmes qui refusaient une petite monnaie de cuivre au pauvre qui se tenait debout à demi nu et grelot tant sur la route, son chapeau troué à la main.
Aussi les bénédictions de toute la contrée retombaient comme une douce rosée de bonheur sur Berthe et sur son mari. Des moissons dorées couvraient leurs champs, des grappes de raisins monstrueux faisaient craquer leurs treilles, et si quelque nuage noir chargé de grêle et d'éclairs s'avançait sur leur château, un souffle invisible le poussait aussitôt vers la demeure de quelque méchant châtelain au-dessus de laquelle elle aillait éclater et faire ravage.
La bouillie au miel - le pain de munition et l'eau claire - Waldemar de Rosenberg - Wilbord de Eisenfeld - les conjureurs d'esprits - le chevalier à la quenouille - le chevalier Torald -
éditions Librairie Delagrave 1958. #contes pour enfants, #contes d'Alexandre Dumas, #livre de contes, #anciens contes, #littérature jeunesse,
Description : livre broché, couverture souple,52 pages. format 20 cm x 15,5 cm. bon état quelques rousseurs sur la page d'avant-titre.
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Il y avait, un jour, un vaillant chevalier nommé Osmond de Ropsenberg, lequel choisit pour femme une belle jeune fille nommée Berthe. Berthe était bonne, douce, compatissante, veillait avec soin à ce qu'aucun souffle ne ternît le miroir de sa réputation. Et quand elle parcourait ses villages, non pas dans une élégante calèche, avec un chien du roi Charles sur la banquette de devant, mais à pied, avec son sac d'aumône à la main, un Dieu vous le rend! dit par la voix reconnaissance du vieillard, de la veuve ou de l'orphelin, lui paraissait plus doux à l'oreille que la plus mélodieuse ballade du plus célèbre minnesinger, ballade que parfois cependant payaient d'une pièce d'or ceux là mêmes qui refusaient une petite monnaie de cuivre au pauvre qui se tenait debout à demi nu et grelot tant sur la route, son chapeau troué à la main. Aussi les bénédictions de toute la contrée retombaient comme une douce rosée de bonheur sur Berthe et sur son mari. Des moissons dorées couvraient leurs champs, des grappes de raisins monstrueux faisaient craquer leurs treilles, et si quelque nuage noir chargé de grêle et d'éclairs s'avançait sur leur château, un souffle invisible le poussait aussitôt vers la demeure de quelque méchant châtelain au-dessus de laquelle elle aillait éclater et faire ravage. éditions Librairie Delagrave 1958. #contes pour enfants, #contes d'Alexandre Dumas, #livre de contes, #anciens contes, #littérature jeunesse,