Les innocents de Paris, Gilbert Cesbron, 1956 -...
Baiser à l'italienne, Costanzo Costantini, 1976...

La chair et le sang des vivants, Robert Gaillard, 1954 - euthanasie en 1950, médecin meurtrier en fuite-

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La chair et le sang des vivants, Robert Gaillard - roman - Par pitié, donneriez-vous la mort "douce" à un être cher, incurable, abandonné, condamné par tous et, qui plus est, un enfant. C'est le drame de 'euthanasie. C'est aussi celui dans lequel se laisse entraîner un jeune homme qui sera bientôt médecin, médecin brillant. Sa raison et sa conscience se heurtent, mais par-dessus tout, au-delà de la pitié et de la charité, ce qui dicte son geste c'est une véritable impossibilité physique de supporter la vue des souffrances d'autrui, d'un innocent, d'assister à un supplice que rien ne justifie et qui ne peut trouver de terme qu'avec la mort qui est proche mais se fait attendre. Le héros de Robert Gaillard estime que la médecine est à la fois un art et une science, mais surtout un sacerdoce. Son crime ne lui a rien ravie de ses étonnantes qualités, aussi obéira-t-il à sa vocation en usurpant une personnalité à l'aide d'un diplôme et d'un passeport tâchés de sang. Il s'n ira à l'autre bout du monde, il s'immiscera au sein d'une famille où un père aveugle le prendra pour son fils et une jeune fille, délicate et ravissante, pour son frère. Un concours de circonstances diaboliques, comme il y en a tous les jours dans la vie, l'acculera à révéler son secret, sa véritable identité, et à se débarrasser de ce poids qui l'étouffe, qui risque de le conduire à la folie. Dans cette seconde partie, Robert Gaillard traite avec une profonde humanité du problème des préjugés raciaux. éditions André Martel 1954. #euthanasie, #euthanasie 1950, #choix du médecin, #conscience du médecin, #droit de tuer, #meurtrier, #usurpation d'identité, #romans d'aventures, 

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La chair et le sang des vivants, Robert Gaillard - roman - Par pitié, donneriez-vous la mort "douce" à un être cher, incurable, abandonné, condamné par tous et, qui plus est, un enfant. C'est le drame de 'euthanasie. C'est aussi celui dans lequel se laisse entraîner un jeune homme qui sera bientôt médecin, médecin brillant. Sa raison et sa conscience se heurtent, mais par-dessus tout, au-delà de la pitié et de la charité, ce qui dicte son geste c'est une véritable impossibilité physique de supporter la vue des souffrances d'autrui, d'un innocent, d'assister à un supplice que rien ne justifie et qui ne peut trouver de terme qu'avec la mort qui est proche mais se fait attendre.

Cette première partie du livre, qui constitue pratiquement un roman à elle seule, nous fait pénétrer dans les milieux scientifiques et médicaux dont la peinture est faite de maîtresse main par un écrivain qui les connaît bien. Mais quelles que soient les raisons, si valables qu'elles puissent être (si toutefois elles sont valables), l'euthanasie est un crime, et celui qui la pratique, un criminel.

Par le fait irréparable d'avoir supprimé une existence humaine, tous les rapports du meurtrier avec le monde sont changés ; ce monde prend une physionomie et une signification nouvelles qui excluent, pour le coupable, la possibilité de sentir, de raisonner et d'agir comme les autres, et de trouver sa place dans la vie.

Le héros de Robert Gaillard estime que la médecine est à la fois un art et une science, mais surtout un sacerdoce. Son crime ne lui a rien ravie de ses étonnantes qualités, aussi obéira-t-il à sa vocation en usurpant une personnalité à l'aide d'un diplôme et d'un passeport tâchés de sang. Il s'n ira à l'autre bout du monde, il s'immiscera au sein d'une famille où un père aveugle le prendra pour son fils et une jeune fille, délicate et ravissante, pour son frère. Un concours de circonstances diaboliques, comme il y en a tous les jours dans la vie, l'acculera à révéler son secret, sa véritable identité, et à se débarrasser de ce poids qui l'étouffe, qui risque de le conduire à la folie. Dans cette seconde partie, Robert Gaillard traite avec une profonde humanité du problème des préjugés raciaux. 

éditions André Martel 1954. #euthanasie, #euthanasie 1950, #choix du médecin, #conscience du médecin, #droit de tuer, #meurtrier, #usurpation d'identité, #romans d'aventures, 

Description : livre broché, couverture souple, avec jaquette, 511 pages, format 20 cm x 14 cm, épaisseur 4 cm. bon état.

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