Annapurna premier 8000, Maurice Herzog, 1969 -...
Une cloche pour Adano, John Hersey, 1957 -...

Rosshalde, Hermann Hesse, 1980 - château allemand, incommunicabilité , littérature allemande

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Rosshalde, Hermann Hesse - roman traduit de l'allemand - Dix ans déjà que le peintre Johann Veraguth a acheté le château de Rosshalde, sept ans qu'il passe ses journées dans l'atelier construit au bord du lac, trois ans qu'il l'a complété d'une chambre pour y passer aussi ses nuits.  Chaque date correspond à une étape dans la détérioration de ses liens avec sa femme Adèle. Certes, les apparences sont sauves puisque le peintre continue à prendre ses repas au château avec Adèle et ses fils Albert et Pierre, n'empêche qu'il y est en étranger. Son domaine, c'est l'atelier.  Johann ne vit que pour la peinture - et pour Pierre. Il aurait divorcé depuis longtemps si Adèle n'avait refusé de lui laisser la garde de l'enfant. Il s'est résigné au présent état de choses pour rester en contact avec son fils.  Pierre se détournera peut-être de lui comme l'a fait Albert : que deviendra-t-il alors ? Son ami Otto Burkhardt l'oblige à se poser la question, à débrider l'abcès. Il faut trancher dans le vif, partir, accompagner par exemple Otto en Malaisie pour un an ou pour toujours. Donc renoncer à Pierre. Décision salutaire qui mettrait fin à une existence de contraintes frustrantes et vaines, décision déchirante qui est le ressort de ce roman, reflet de ses aspirations et de son drame personnel, où Hermann Hesse dépeint la lutte d'un homme à la recherche de lui-même. éditions Le Livre de Poche 1980. #incommunicabilité, #amour paternel, #château en Allemagne, #sens de la vie, #littérature allemande, #écrivain allemand,

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Rosshalde, Hermann Hesse - roman traduit de l'allemand - Dix ans déjà que le peintre Johann Veraguth a acheté le château de Rosshalde, sept ans qu'il passe ses journées dans l'atelier construit au bord du lac, trois ans qu'il l'a complété d'une chambre pour y passer aussi ses nuits. 

Chaque date correspond à une étape dans la détérioration de ses liens avec sa femme Adèle. Certes, les apparences sont sauves puisque le peintre continue à prendre ses repas au château avec Adèle et ses fils Albert et Pierre, n'empêche qu'il y est en étranger. Son domaine, c'est l'atelier. 

Johann ne vit que pour la peinture - et pour Pierre. Il aurait divorcé depuis longtemps si Adèle n'avait refusé de lui laisser la garde de l'enfant. Il s'est résigné au présent état de choses pour rester en contact avec son fils. 

Pierre se détournera peut-être de lui comme l'a fait Albert : que deviendra-t-il alors ? Son ami Otto Burkhardt l'oblige à se poser la question, à débrider l'abcès. Il faut trancher dans le vif, partir, accompagner par exemple Otto en Malaisie pour un an ou pour toujours. Donc renoncer à Pierre.

Décision salutaire qui mettrait fin à une existence de contraintes frustrantes et vaines, décision déchirante qui est le ressort de ce roman, reflet de ses aspirations et de son drame personnel, où Hermann Hesse dépeint la lutte d'un homme à la recherche de lui-même.

éditions Le Livre de Poche 1980. #incommunicabilité, #amour paternel, #château en Allemagne, #sens de la vie, #littérature allemande, #écrivain allemand,

Description : format livre de poche, 317 pages - bon état. usure de couverture.

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