Le cheval blanc de la prairie, Mayne-Reid - animaux sauvages, Far West, cow-boys, Etats-Unis XIXe siècle, roman d'aventure
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Le cheval blanc de la prairie, Mayne-Reid - "Dans notre dernière campagne au Mexique, dit le capitaine Worfield en achevant de rouler sa cigarette, j'avais été dirigé avec ma compagnie sur un village éloigné où nous devions attendre les ordres du quartier général. C'était un endroit si triste, si monotone, que de ma vie je ne me suis autant ennuyé. Las de cette existence uniforme, où le désœuvrement tenait toute la place, je finis par demander mon changement de garnison. Un matin, comme je prenais le frais sur ma terrasse, on m'apporta une lettre du propriétaire d'une plantation voisine. Elle était ainsi conçue : "Mon cher Worfield, Nous parlions hier du cheval blanc de la prairie ; un de mes gardeurs de troupeaux vient de m'annoncer qu'il l'a aperçu dans les grandes pampas qui touchent à ma propriété. Le malheur veut que je sois cloué au lit et incapable de partir en chasse ; mais vous, qui êtes valide et ne savez comment tuer le temps, pourquoi n'essaieriez-vous pas de faire main basse sur le plus beau coursier qu'il y ait au monde ? L'homme qui vous remettra ce billet vous dira où il l'a vu. Tout à vous, Manuel de Favia." éditions Société Française d'Imprimerie et de Librairie, ancienne librairie Lecène Oudin, Paris, (non daté, vers 1930). #far-west, #far west, #cowboys, #animaux sauvages, #Amérique 19e siècle, #roman d'aventure, #aventure jeunesse, #littérature jeunesse.
Le cheval blanc de la prairie, Mayne-Reid - "Dans notre dernière campagne au Mexique, dit le capitaine Worfield en achevant de rouler sa cigarette, j'avais été dirigé avec ma compagnie sur un village éloigné où nous devions attendre les ordres du quartier général. C'était un endroit si triste, si monotone, que de ma vie je ne me suis autant ennuyé. Las de cette existence uniforme, où le désœuvrement tenait toute la place, je finis par demander mon changement de garnison. Mais les semaines s'écoulaient, et je ne recevais pas de réponse. Evidemment, mon colonel m'avait oublié, ou il avait ses motifs pour ne pas déférer à mon désir. J'aurais eu tort après tout de me plaindre de son silence, car ce fut juste à ce moment qu'il m'arriva une aventure que je vais vous raconter.
Un matin, comme je prenais le frais sur ma terrasse, on m'apporta une lettre du propriétaire d'une plantation voisine. Elle était ainsi conçue :
"Mon cher Worfield, Nous parlions hier du cheval blanc de la prairie ; un de mes gardeurs de troupeaux vient de m'annoncer qu'il l'a aperçu dans les grandes pampas qui touchent à ma propriété. Le malheur veut que je sois cloué au lit et incapable de partir en chasse ; mais vous, qui êtes valide et ne savez comment tuer le temps, pourquoi n'essaieriez-vous pas de faire main basse sur le plus beau coursier qu'il y ait au monde ? L'homme qui vous remettra ce billet vous dira où il l'a vu. Tout à vous, Manuel de Favia."
éditions Société Française d'Imprimerie et de Librairie, ancienne librairie Lecène Oudin, Paris, (non daté, vers 1930). #far-west, #animaux sauvages, #Amérique 19e siècle, #roman d'aventure, #aventure jeunesse, #littérature jeunesse.
Description : livre relié, couverture cartonnée, 124 pages, format 22 cm x 15 cm. bon état intérieur, bords de pages de gardes avec traces d'ancienne humidité. usure de couverture.
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