La mère, Pearl Buck, 1977 - Paysanne chinoise, amour maternel, destin de femme Chine
La mère, Pearl Buck - roman "The mother", traduit de l'américain par Germaine Delamain. Préface de Louis Gillet - "Cette femme qui perd son mari, sa fille puis son fils, comme une vivante dont on amputerait tous les membres l'un après l'autre, cette existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, cette répétition invariable du malheur, cette absence de déclamation, ce ton uni, cette simplicité, cet intérêt qui vous captive dans ce manque d'aventures, finissent par produire une souveraine impression de grandeur : c'est toute l'immensité de la plaine chinoise, ce labeur opiniâtre, éternel ; les choses, dans ce paysage, semblent se dérouler comme les lois de la nature, leur emprunter leur caractère d'indifférence et de nécessité. Il y a là une égalité, une pureté de dessin que je ne trouve nulle part dans la littérature anglaise." Collection Bibliothèque des Succès - éditions France Loisirs, 1977. #Chine, #femme chinoise, #destin de femme, #amour maternel, #Chine ancestrale, Chine XXe siècle, #paysans chinois, #perte d'un enfant, #maternité, #pauvreté en Chine, #paysannerie chinoise, #drame, #roman étranger, #littérature américaine, #roman américain.
La mère, Pearl Buck - roman "The mother", traduit de l'américain par Germaine Delamain. Préface de Louis Gillet - Prix Nobel de littérature en 1938, Pearl Buck retrace dans La Mère le destin d'une modeste paysanne chinoise. Une vie de labeur opiniâtre, de résignation aux dures lois de la nature et aux épreuves cruelles du destin comme la perte d'un mari, d'une fille, puis d'un fils. L'existence quotidienne de cette figure humble mais fière, incarnation d'une certaine sagesse ancestrale, est dépeinte avec une grande pureté et une simplicité émouvante qui font de ce roman un inoubliable portrait de femme et de mère.
"Cette femme qui perd son mari, sa fille puis son fils, comme une vivante dont on amputerait tous les membres l'un après l'autre, cette existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, cette répétition invariable du malheur, cette absence de déclamation, ce ton uni, cette simplicité, cet intérêt qui vous captive dans ce manque d'aventures, finissent par produire une souveraine impression de grandeur : c'est toute l'immensité de la plaine chinoise, ce labeur opiniâtre, éternel ; les choses, dans ce paysage, semblent se dérouler comme les lois de la nature, leur emprunter leur caractère d'indifférence et de nécessité. Il y a là une égalité, une pureté de dessin que je ne trouve nulle part dans la littérature anglaise."
Collection Bibliothèque des Succès - éditions France Loisirs, 1977. #femme chinoise, #destin de femme, #amour maternel, #Chine ancestrale, Chine XXe siècle, #paysans chinois, #perte d'un enfant, #maternité, #pauvreté en Chine, #paysannerie chinoise, #drame, #roman étranger, #littérature américaine, #roman américain.
Description : livre relié, couverture cartonné, avec jaquette, 267 pages. 21 cm x 13,5 cm; bon état. légère odeur de renfermé.
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