L'histoire de Kim Christopher, Pearl Buck, 1968 - Coréen, adoption, écrivains américains, romans américains
L'histoire de Kim Christopher - roman "The New Year", traduit de l'américain - L'enveloppe portrait un nom coréen sur le côté gauche en haut : "Kim". La lettre était signée Kim Christopher. Cette lettre, dès qu'il eut compris d'où elle venait, Christophe Whiters, sous les yeux de sa femme, l'a dissimulée dans la pile de courrier. Le passé, brusquement, le rappelait à l'ordre. Il lui fallait réfléchir. Kim était l'enfant qu'il avait eu en Corée avec Soonya qu'il avait vraiment aimée à sa façon... L'enfant avait un mois lorsqu'il avait été rappelé en Amérique. Et depuis, avec Laura, sa femme, idéalement heureux, il avait presque oublié... Cette lettre arrive au moment même où il est candidat au poste de Gouverneur et où un avenir brillant s'ouvre devant lui. Bouleversée, Laura part pour Séoul à la recherche de cet enfant qu'elle trouve effectivement avec sa mère, dans une maison de thé. Kim, enfant de soldat américain, rejeté par la communauté coréenne, chante dans les cabarets. Avec l'assentiment de Soonya, Laura ramène le petit garçon en Amérique. Pearl Buck apparaît, ici, comme dans ses meilleurs romans, soucieuse de concilier l'Orient et l'Occident. Christopher et Laura d'une part, et surtout Soonya et le petit Kim Christopher d'autre part sont des personnages qui méritent de prendre place à côté de La Mère ou du Patriote, à côté des personnages inoubliables de Pearl Buck. éditions Stock, 1968. #romans américains, #GI en Corée, #Corée, #adoption, #écrivains américains.
L'histoire de Kim Christopher - roman "The New Year", traduit de l'américain - L'enveloppe portrait un nom coréen sur le côté gauche en haut : "Kim". La lettre était signée Kim Christopher. Cette lettre, dès qu'il eut compris d'où elle venait, Christophe Whiters, sous les yeux de sa femme, l'a dissimulée dans la pile de courrier. Le passé, brusquement, le rappelait à l'ordre. Il lui fallait réfléchir. Kim était l'enfant qu'il avait eu en Corée avec Soonya qu'il avait vraiment aimée à sa façon... L'enfant avait un mois lorsqu'il avait été rappelé en Amérique. Et depuis, avec Laura, sa femme, idéalement heureux, il avait presque oublié... Cette lettre arrive au moment même où il est candidat au poste de Gouverneur et où un avenir brillant s'ouvre devant lui. Bouleversée, Laura part pour Séoul à la recherche de cet enfant qu'elle trouve effectivement avec sa mère, dans une maison de thé. Kim, enfant de soldat américain, rejeté par la communauté coréenne, chante dans les cabarets. Avec l'assentiment de Soonya, Laura ramène le petit garçon en Amérique. Pearl Buck apparaît, ici, comme dans ses meilleurs romans, soucieuse de concilier l'Orient et l'Occident. Christopher et Laura d'une part, et surtout Soonya et le petit Kim Christopher d'autre part sont des personnages qui méritent de prendre place à côté de La Mère ou du Patriote, à côté des personnages inoubliables de Pearl Buck.
éditions Stock, 1968. #romans américains, #Corée, #adoption, #écrivains américains.
Description : livre broché, couverture souple, 256 pages. format 21,5 cm x 15 cm. bon état.
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