Jeanne la mince et la jalousie, Paul Guth, 1963 - romans français
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Jeanne la Mince et la jalousie, Paul Guth - 4e et dernier volume de la série romanesque Jeanne la Mince. Il embrasse une vaste période qui nous mène jusqu'en 1963. Jeanne la Mince vit enfin avec celui qu'elle aime : le brillant journaliste Paul Bagnac, qui met son charme méridional au servie d'un arrivisme très parisien. Jeanne la Mince est victime de trois drames. Le drame de la femme plus âgée que l'homme qu'elle a choisi. Le drame de la femme qui travaille et gagne plus d'argent que son mari. Le drame de la femme de l'écrivain, qui doit se sacrifier à l'œuvre de l'époux. Un seul de ces problèmes suffirait pour écraser n'importe quelle femme. Mais Jeanne la Mince résiste à cette formidable tension. Paul la trompe, d'abord avec son travail : le journalisme, la littérature, le théâtre, puis avec une femme, Laurette. Jeanne en souffre affreusement. Elle se défend avec une frénésie, au début naïve et touchante, qui se transforme peu à peu en sécheresse, la sécheresse de la femme qui n'attend plus rien de l'amour et qu'une rivale infiniment plus jeune dépossède de ses prestiges de femme. Jeanne somme Paul de choisir entre elle et Laurette. Paul choisit Laurette. A ce dernier acte, Paul Guth donne comme cadre la vie des vedettes de la fournaise parisienne, de François Mauriac ou Jules Romains à Françoise Hardy, vedettes parmi lesquelles la fille de Jeanne et de Paul, Gab, représente les fameux teen agers. Au milieu d'une foule de détails d'une saveur délicieuse qui attirent le sourire, Paul Guth prend un ton nouveau pour analyser ce cas, si fréquent chez les femmes, surtout à un certain moment de leur vie, de jalousie déchirante. Il a voulu achever ce cycle par un roman poignant comme une confession. éditions Flammarion, 1963. #romans français, écrivains français, Jeanne la Mince, jalousie, sixties, années 1960, étude de mœurs.
Jeanne la Mince et la jalousie, Paul Guth - 4e et dernier volume de la série romanesque Jeanne la Mince. Il embrasse une vaste période qui nous mène jusqu'en 1963. Jeanne la Mince vit enfin avec celui qu'elle aime : le brillant journaliste Paul Bagnac, qui met son charme méridional au servie d'un arrivisme très parisien. Jeanne la Mince est victime de trois drames. Le drame de la femme plus âgée que l'homme qu'elle a choisi. Le drame de la femme qui travaille et gagne plus d'argent que son mari. Le drame de la femme de l'écrivain, qui doit se sacrifier à l'œuvre de l'époux. Un seul de ces problèmes suffirait pour écraser n'importe quelle femme. Mais Jeanne la Mince résiste à cette formidable tension. Paul la trompe, d'abord avec son travail : le journalisme, la littérature, le théâtre, puis avec une femme, Laurette. Jeanne en souffre affreusement. Elle se défend avec une frénésie, au début naïve et touchante, qui se transforme peu à peu en sécheresse, la sécheresse de la femme qui n'attend plus rien de l'amour et qu'une rivale infiniment plus jeune dépossède de ses prestiges de femme. Jeanne somme Paul de choisir entre elle et Laurette. Paul choisit Laurette. A ce dernier acte, Paul Guth donne comme cadre la vie des vedettes de la fournaise parisienne, de François Mauriac ou Jules Romains à Françoise Hardy, vedettes parmi lesquelles la fille de Jeanne et de Paul, Gab, représente les fameux teen agers. Au milieu d'une foule de détails d'une saveur délicieuse qui attirent le sourire, Paul Guth prend un ton nouveau pour analyser ce cas, si fréquent chez les femmes, surtout à un certain moment de leur vie, de jalousie déchirante. Il a voulu achever ce cycle par un roman poignant comme une confession.
éditions Flammarion, 1963. #romans français, écrivains français, Jeanne la Mince, jalousie, sixties, années 1960, étude de mœurs.
Description : livre broché cousu, couverture souple, 305 pages. format 19 cm x 12 cm. bon état, le livre n'a pas été lu, des cahiers ne sont pas découronnés. taches sur le premier plat de couverture.
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Jeanne la Mince et la jalousie, Paul Guth - 4e et dernier volume de la série romanesque Jeanne la Mince. Il embrasse une vaste période qui nous mène jusqu'en 1963. Jeanne la Mince vit enfin avec celui qu'elle aime : le brillant journaliste Paul Bagnac, qui met son charme méridional au servie d'un arrivisme très parisien. Jeanne la Mince est victime de trois drames. Le drame de la femme plus âgée que l'homme qu'elle a choisi. Le drame de la femme qui travaille et gagne plus d'argent que son mari. Le drame de la femme de l'écrivain, qui doit se sacrifier à l'œuvre de l'époux. Un seul de ces problèmes suffirait pour écraser n'importe quelle femme. Mais Jeanne la Mince résiste à cette formidable tension. Paul la trompe, d'abord avec son travail : le journalisme, la littérature, le théâtre, puis avec une femme, Laurette. Jeanne en souffre affreusement. Elle se défend avec une frénésie, au début naïve et touchante, qui se transforme peu à peu en sécheresse, la sécheresse de la femme qui n'attend plus rien de l'amour et qu'une rivale infiniment plus jeune dépossède de ses prestiges de femme. Jeanne somme Paul de choisir entre elle et Laurette. Paul choisit Laurette. A ce dernier acte, Paul Guth donne comme cadre la vie des vedettes de la fournaise parisienne, de François Mauriac ou Jules Romains à Françoise Hardy, vedettes parmi lesquelles la fille de Jeanne et de Paul, Gab, représente les fameux teen agers. Au milieu d'une foule de détails d'une saveur délicieuse qui attirent le sourire, Paul Guth prend un ton nouveau pour analyser ce cas, si fréquent chez les femmes, surtout à un certain moment de leur vie, de jalousie déchirante. Il a voulu achever ce cycle par un roman poignant comme une confession. éditions Flammarion, 1963. #romans français, écrivains français, Jeanne la Mince, jalousie, sixties, années 1960, étude de mœurs.