Une société sans école, Ivan Illich, 1971 - mai 1968, critique de l'enseignement, pédagogie
Une société sans école, Ivan Illich - Deschooling Society, traduit de l'anglais - L'école obligatoire, la scolarité prolongée, la course aux diplômes, autant de faux progrès. Dévotions rituelles où la société de consommation se rend à elle-même son propre culte, où elle produit des élèves dociles prêts à obéir aux institutions, à consommer des programmes tout faits préparés par des autorités supposées compétentes. A tout cela, il faut substituer une véritable éducation qui prépare à la vie dans la vie, qui donne le goût d'inventer et d'expérimenter. Il faut libérer la jeunesse de cette longue gestation scolaire qui la conforme au modèle officiel. Alors, les nations pauvres cesseront d'imiter cette coûteuse erreur. Plus de crédits démesurés aux institutions (scolaires ou autres). Que les moyens d'acquérir ou de transmettre un savoir soient mis en commun et librement accessibles à tous. Plus de maîtres à la fois gardiens de l'ordre établi, prédicateurs et thérapeutes. Mais des échanges entre égaux, des éducateurs indépendants. éditions du Seuil 1971. #école soixante-huitarde, #enseignement après 68, #pédagogie, #nouvelle méthode pédagogie, #rejet enseignement, #réforme enseignement, #éducation laxiste, #égalitarisme, #révolution scolaire, #déscolarisation, #critique école, #critique enseignement.
Une société sans école, Ivan Illich - Deschooling Society, traduit de l'anglais - L'école obligatoire, la scolarité prolongée, la course aux diplômes, autant de faux progrès. Dévotions rituelles où la société de consommation se rend à elle-même son propre culte, où elle produit des élèves dociles prêts à obéir aux institutions, à consommer des programmes tout faits préparés par des autorités supposées compétentes. A tout cela, il faut substituer une véritable éducation qui prépare à la vie dans la vie, qui donne le goût d'inventer et d'expérimenter. Il faut libérer la jeunesse de cette longue gestation scolaire qui la conforme au modèle officiel. Alors, les nations pauvres cesseront d'imiter cette coûteuse erreur.
Plus de crédits démesurés aux institutions (scolaires ou autres). Que les moyens d'acquérir ou de transmettre un savoir soient mis en commun et librement accessibles à tous. Plus de maîtres à la fois gardiens de l'ordre établi, prédicateurs et thérapeutes. Mais des échanges entre égaux, des éducateurs indépendants.
Pourquoi il faut en finir avec l'institution scolaire -
phénoménologie de l'école : l'âge scolaire - des maîtres et des élèves - une présence à plein temps-
Le rite du progrès : le mythe des valeurs institutionnalisées - le mythe des valeurs étalonnées - le mythe des valeurs conditionnées - le mythe du progrès éternel - le jeu rituel et la religion du monde nouveau - le royaume à venir : les espérances universelles - la nouvelle aliénation - le potentiel révolutionnaire de la déscolarisation -
Analyse spectrale des institutions : services contraires à l'intérêt du public - l'école, service public ?
Logique de l'absurde - Les réseaux du savoir : une objection ? A qui peuvent servir ces points jetés vers l'inconnu ? Caractéristiques générales des nouvelles institutions éducatives - Quatre réseaux -
Renaissance de l'homme épiméthéen.
éditions du Seuil 1971. #école soixante-huitarde, #enseignement après 68, #pédagogie, #nouvelle méthode pédagogie, #rejet enseignement, #réforme enseignement, #éducation laxiste, #égalitarisme, #révolution scolaire, #déscolarisation, #critique école, #critique enseignement.
Description : livre broché, couverture souple, 220 pages. format 20,5 cm x 13,5 cm. bon état.
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