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La volonté de guérir, Norman Cousins, 1980 - psychologie du malade,
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La volonté de guérir, Norman Cousins - traduit de l'américain - préface de René Dubos - Il y a quelques années, Norman Cousins, rédacteur en chef de Saturday Review, tombe gravement malade. Il est hospitalisé. Les médecins diagnostiquent une spondylarthrite ankylosante et ne lui donnent qu'une chance sur cinq cents de guérir. Cousins refuse de se résigner. Il veut comprendre et décide, avec l'aide de son médecin, de prendre en main son sort. Il quitte l'hôpital, s'installe à l'hôtel, se fait projeter les meilleurs films comiques, découvre les vertus tyhérapeutiques du rire, reçoit ses amis, réduit son traitement à la vitamine C infectée à hautes doses. Cette volonté de développer la capacité autonome de guérison naturelle que chacun porte en soi et cette joie de vivre produisent leur effet : il guérit. Norman Cousins raconte son miracle dans le New England Journal of Medicine, le plus important périodique médical des Etats-Unis. Son article lui vaut des milliers de lettres de médecins et des appels téléphoniques de malades désespérés. Conclusion : Cousins se voit offrir, lui un non-médecin, une chaire à la faculté de médecine de l'université de Los Angeles. C'est toute cette aventure, ses suites et ses enseignements, que l'on retrouve dans cet ouvrage : un récit qui offre aussi des développements passionnants sur l'effet placebo, la relation malade-médecin, la douleur, et offre avec chaleur l'exemple de deux illustres amis de l'auteur, Pablo Casals et Albert Schweitzer. éditions Seuil 1980. #psychologie guérison, #effet placebo, #conseils guérison, #psychologie malade,
La volonté de guérir, Norman Cousins - traduit de l'américain - préface de René Dubos -
Il y a quelques années, Norman Cousins, rédacteur en chef de Saturday Review, tombe gravement malade. Il est hospitalisé. Les médecins diagnostiquent une spondylarthrite ankylosante et ne lui donnent qu'une chance sur cinq cents de guérir. Cousins refuse de se résigner. Il veut comprendre et décide, avec l'aide de son médecin, de prendre en main son sort. Il quitte l'hôpital, s'installe à l'hôtel, se fait projeter les meilleurs films comiques, découvre les vertus tyhérapeutiques du rire, reçoit ses amis, réduit son traitement à la vitamine C infectée à hautes doses. Cette volonté de développer la capacité autonome de guérison naturelle que chacun porte en soi et cette joie de vivre produisent leur effet : il guérit.
Norman Cousins raconte son miracle dans le New England Journal of Medicine, le plus important périodique médical des Etats-Unis. Son article lui vaut des milliers de lettres de médecins et des appels téléphoniques de malades désespérés. Conclusion : Cousins se voit offrir, lui un non-médecin, une chaire à la faculté de médecine de l'université de Los Angeles.
C'est toute cette aventure, ses suites et ses enseignements, que l'on retrouve dans cet ouvrage : un récit qui offre aussi des développements passionnants sur l'effet placebo, la relation malade-médecin, la douleur, et offre avec chaleur l'exemple de deux illustres amis de l'auteur, Pablo Casals et Albert Schweitzer.
éditions Seuil 1980. #psychologie guérison, #effet placebo, #conseils guérison, #psychologie malade,
Description : livre broché, couverture souple, 154 pages, format 20,5 cm x 14 cm. bon état.
1962
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