L'amour profane, Alfred Kern, 1959 - roman dédicacé par Alfred Kern, couvent, perte de la foi,
L'amour profane, Alfred Kern - exemplaire dédicacé par Alfred Kern - Lorsque Monseigneur envoie Jean Duperrier comme aumônier au couvent de Sainte-Hildegarde-du-Mont, on pourrait craindre qu'il introduise le loup dans la bergerie. Jean Duperrier a perdu la foi, mais Monseigneur est bien certain que la Supérieure, Marie-Anne, saura veiller à ce qu'il ne trouble pas, volontairement ou non, les âmes dont il a la garde. Jean Duperrier est le narrateur du présent récit. S'il ne croit plus au Dieu de son enfance, il appelle toujours "démon de la chair" le dieu des corps dont il éprouve la puissance. S'il essaie de séduire Marie-Anne, c'est par un sursaut d'orgueil et pour savoir si elle possède une certitude que le doute ne peut entamer. Le combat se déroule sur deux plans : pour Marie-Anne, entre l'amour sacré et l'amour profane, entre la nature et la grâce, mais aussi, pour Duperrier, entre les apparences et la réalité. Jean Duperrier, s'il ne croit plus à rien, connaît le pouvoir des rites. Il se demande quelle est en chacun de nous la part de la comédie et dans quelle mesure la comédie se confond avec l'être même. éditions Gallimard 1959. #perte de la foi, #tentation de la chair, #couvent, #spiritualité, #livre dédicacé,
L'amour profane, Alfred Kern - exemplaire dédicacé par Alfred Kern -
Lorsque Monseigneur envoie Jean Duperrier comme aumônier au couvent de Sainte-Hildegarde-du-Mont, on pourrait craindre qu'il introduise le loup dans la bergerie. Jean Duperrier a perdu la foi, mais Monseigneur est bien certain que la Supérieure, Marie-Anne, saura veiller à ce qu'il ne trouble pas, volontairement ou non, les âmes dont il a la garde.
Jean Duperrier est le narrateur du présent récit. S'il ne croit plus au Dieu de son enfance, il appelle toujours "démon de la chair" le dieu des corps dont il éprouve la puissance. S'il essaie de séduire Marie-Anne, c'est par un sursaut d'orgueil et pour savoir si elle possède une certitude que le doute ne peut entamer. Le combat se déroule sur deux plans : pour Marie-Anne, entre l'amour sacré et l'amour profane, entre la nature et la grâce, mais aussi, pour Duperrier, entre les apparences et la réalité.
Jean Duperrier, s'il ne croit plus à rien, connaît le pouvoir des rites. Il se demande quelle est en chacun de nous la part de la comédie et dans quelle mesure la comédie se confond avec l'être même.
éditions Gallimard 1959. #perte de la foi, #tentation de la chair, #couvent, #spiritualité, #livre dédicacé,
Description : livre broché, couverture souple, 250 pages. format 19 cm x 12 cm. bon état intérieur, le livre n'a pas été lu et les cahiers ne sont pas découronnés. usure de couverture