Un été à Jérusalem, Chochana Boukhobza, 1988 -...
Les trois filles de Madame Liang, Pearl Buck,...

Le matrimoine, Hervé Bazin, 1970 - mariage en 1970, romans français, Rombaldi,

4,50 €
Tax included

Le Matrimoine, Hervé Bazin - roman - Précédé d'une interview d'Hervé Bazin - "Ce que démontre le Matrimoine, c'est l'avachissement progressif, plus mental que physique, où se détruit la fille, puis la femme, puis la mère, au nom de la famille. Dans la langue familière, se marier est souvent pris comme synonyme de faire une fin, ce qui semble impliquer qu'a été conclue une association assurant au nouveau couple l'opulence et la paix jusqu'à son dernier jour. Or ce jour-là est lointain, ceux qui s'écoulent entre-temps onéreux et la fin est en réalité celle de la vie antérieure à la cérémonie : tel est le paradoxe du mariage dont le jeune avocat angevin Abdel Brenaudeau mesure la vérité dès le retour du voyage de noces. Rien ne l'a préparé à l'existence à deux qui commence pour lui avec Mariette Guimarch, fille de bonnetiers prospères. A deux ? C'est compter sans l'invasion de la belle-famille, puis bientôt d'ne nouvelle génération de Brenaudeau, tous profondément marqués par l'éducation Guimarh. Ainsi, le veut la tendance du siècle où le sceptre échappe au roi pour passer aux mains de la reine, où le patrimoine se transforme en matrimoine pour la plus grande gloire de la méragosse... et son plus grand souci. Abdel le note d'une plume tout à tour vengeresse, amusée, attendrie, au fil de cette chronique d'un ménage pareil à tant d'autres qui est aussi la chronique spirituelle et percutante des mœurs de notre temps. éditions Rombaldi 1970#romans français, mariage, mariage en 1970, écrivains français, femmes en 1970, éditions Rombaldi. 

Quantity

Le Matrimoine, Hervé Bazin - roman - Précédé d'une interview d'Hervé Bazin - "Ce que démontre le Matrimoine, c'est l'avachissement progressif, plus mental que physique, où se détruit la fille, puis la femme, puis la mère, au nom de la famille. Dans la langue familière, se marier est souvent pris comme synonyme de faire une fin, ce qui semble impliquer qu'a été conclue une association assurant au nouveau couple l'opulence et la paix jusqu'à son dernier jour. Or ce jour-là est lointain, ceux qui s'écoulent entre-temps onéreux et la fin est en réalité celle de la vie antérieure à la cérémonie : tel est le paradoxe du mariage dont le jeune avocat angevin Abdel Brenaudeau mesure la vérité dès le retour du voyage de noces. Rien ne l'a préparé à l'existence à deux qui commence pour lui avec Mariette Guimarch, fille de bonnetiers prospères. A deux ? C'est compter sans l'invasion de la belle-famille, puis bientôt d'ne nouvelle génération de Brenaudeau, tous profondément marqués par l'éducation Guimarh. Ainsi, le veut la tendance du siècle où le sceptre échappe au roi pour passer aux mains de la reine, où le patrimoine se transforme en matrimoine pour la plus grande gloire de la méragosse... et son plus grand souci. Abdel le note d'une plume tout à tour vengeresse, amusée, attendrie, au fil de cette chronique d'un ménage pareil à tant d'autres qui est aussi la chronique spirituelle et percutante des mœurs de notre temps. 

éditions Rombaldi 1970#romans français, mariage, mariage en 1970, écrivains français, femmes en 1970, éditions Rombaldi. 

Description : livre relié, couverture simili-cuir, titrages dorés, 267 pages. bon état

2714
1 Item

You might also like